mardi 19 novembre 2013

Le bilan de la guerre en Sinà


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Sinà, le Grand-duché n’est plus. La guerre a mis en évidence les faiblesses de l’autorité du pouvoir du grand-duc Amédée IV
. L’aide des russlaves, comme des krasslandais, n’a pas permis l’inévitable, la défaite.

Tout a commencé avec le procès du chef du PRE, Robert Leduc, en Eslagnes. Ce procès a permis le démantèlement d’un réseau de terroriste à Allancia, mais a confirmé les liens entre les terrorismes markites-républicains avec le Grand-duché de Sinà. Mais le vrai déclenchement de cette guerre fut l’attaque d’un groupe de soldats de Sinà. Ce groupe devait rejoindre la cellule du MRA d’Allancia.

La guerre a été terrible. Le royaume des Eslagnes a attaqué de front, et a rapidement demandé le soutien de ses amis. Presque toutes les nations de la Fédération ont pris les armes. La bataille de Verdà fut terrible. On parle de milliers de mort. L’utilisation du gaz ketchup fut terrible. Elle a détruit les forces, qui défendaient avec force et courage la capitale, mais surtout le moral de la population. La population avait peur d’une deuxième attaque, qui serait dirigé contre la population civile de Verdà et de Sinà.

Au lieu d’assumer ses gestes, le grand-duc Amédée IV a pris la fuite, et une république fut installée. Depuis la montée au trône de Charles III, que la Fédération n’avait pas connu une monarchie dans son groupe.

La nouvelle république a pris le nom de République Kiriliste de Sinà et a offert la capitulation sans condition. Elle a accepté de négocier un traité de paix, avec Sa Majesté Impériale, Philippe 1ier, comme arbitre.

Des milliers de morts, oui. Mais cela a permis le démantèlement d’un réseau de terroriste et de contrebande, qui menaçait continuellement, le Saint-Empire.

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